Raymond POIRIER
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Raymond POIRIER, est né à ALLOUE, le 17 février 1927 dans la maison familiale de la VIEILLE RUE. Il y passe son enfance avec ses parents, Georges POIRIER et Anna (née MARCHADIER) ainsi que son frère Jean et sa sœur Marie-Claire.
Raymond POIRIER nous conte ici ses souvenirs d’enfance et d’adolescence de "sa VIEILLE RUE" dans laquelle il a toujours plaisirs à se ressourcer chaque année, au cours de séjours occasionnels et de visites à sa famille et ses amis ; délaissant quelques temps l'Ile de Beauté (où il vit aujourd’hui), pour son village natal.
Raymond POIRIER nous conte ici ses souvenirs d’enfance et d’adolescence de "sa VIEILLE RUE" dans laquelle il a toujours plaisirs à se ressourcer chaque année, au cours de séjours occasionnels et de visites à sa famille et ses amis ; délaissant quelques temps l'Ile de Beauté (où il vit aujourd’hui), pour son village natal.
La classe de Monsieur LANLAUD Rémi à ALLOUE en 1938 Raymond POIRIER 1er rang avec l'ardoise http://alloueblogspotcom.blogspot.fr/2012/09/alloue-photo-de-classe.html |
RAYMOND POIRIER : ma "VIEILLE RUE"
Souvenirs de mon enfance
2ème partie :
Les bruits et les mouvements de mon enfance
A côté de chez elle on trouvait une famille MORISSET. Le père, Georges, facteur puis retraité, fut pour un temps chargé de procéder aux annonces publiques, précédées du roulement d’un tambour sur lequel il faisait rebondir les baguettes, aussi drues que des grêlons, avec une dextérité qui me remplissait d’admiration. J’étais également impressionné par son fils "Didi" qui n’apparut à ALLOUE que rarement mais qui servait dans la marine. Il en portait l’uniforme bleu foncé, Képi inclus et cela évoquait pour moi la majesté des grands flots bleus et les continents des plus étranges au-delà des mers. En fait, peut-être n’était-il jamais – ou rarement – sorti de son port d’attache.
La voisine des MORISSET, la mémé BROUILLAUD présentait une corpulence menue et un faciès effilé qui me faisaient irrémédiablement penser à une musaraigne ou à la rigueur à une souris. Enfant et adolescent je la voyais m’estimer au point de citer mon prénom en le prononçant « Rêmond ».
http://alloueblogspotcom.blogspot.fr/2014/11/alloue-la-vieille-rue-souvenirs-denfance.html
Raymond POIRIER
Août 2014
à suivre ...
Angle de la VIEILLE RUE et de la ROUTE D'EPENEDE été 1927 ou 1928.
On reconnaît de haut en bas et de gauche à droite :
une inconnue en blanc - George POIRIER - Louis POIRIER -
Mme TROMAS, propriétaire de la maison - Marthe ROUFFIGNAC - Anna MARCHADIER -
Jacques TROMAS, devant sa mère - Raymond POIRIER sur les genoux de sa grand-mère paternelle.
Angle de la VIEILLE RUE et de la ROUTE D'EPENEDE été 1927 ou 1928.
On reconnaît de haut en bas et de gauche à droite :
une inconnue en blanc - George POIRIER - Louis POIRIER -
Mme TROMAS, propriétaire de la maison - Marthe ROUFFIGNAC - Anna MARCHADIER -
Jacques TROMAS, devant sa mère - Raymond POIRIER sur les genoux de sa grand-mère paternelle.
Photos :
- Classe de Monsieur LANLAUD Rémi : collection René MARTIN
- Les enfants CUSTODIO : photos de classes
- Andrée GILARD : YM
- Pierrot NEHER : collection Gerard DEVAINE
- Le Père GUILLARD : collection Renée BELLICAUD
- Maison TROMAS : collection Raymond POIRIER
- Maison TROMAS : collection Raymond POIRIER
Remerciements à Renée BELLICAUD, Gerard DEVAINE, René MARTIN et Dominique RAPION.
RAYMOND POIRIER : ma "VIEILLE RUE"
Souvenirs de mon enfance
1ère partie :
http://alloueblogspotcom.blogspot.fr/2014/11/alloue-la-vieille-rue-souvenirs-denfance.html
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