Raymond POIRIER
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Raymond POIRIER, est né à ALLOUE, le 17 février 1927 dans la maison familiale de la VIEILLE RUE. Il y passe son enfance avec ses parents, Georges POIRIER et Anna (née MARCHADIER) ainsi que son frère Jean et sa sœur Marie-Claire.
Raymond POIRIER nous conte ici ses souvenirs d’enfance et d’adolescence de "sa VIEILLE RUE" dans laquelle il a toujours plaisirs à se ressourcer chaque année, au cours de séjours occasionnels et de visites à sa famille et ses amis ; délaissant quelques temps l'Ile de Beauté (où il vit aujourd’hui), pour son village natal.
Raymond POIRIER nous conte ici ses souvenirs d’enfance et d’adolescence de "sa VIEILLE RUE" dans laquelle il a toujours plaisirs à se ressourcer chaque année, au cours de séjours occasionnels et de visites à sa famille et ses amis ; délaissant quelques temps l'Ile de Beauté (où il vit aujourd’hui), pour son village natal.
RAYMOND POIRIER : ma "VIEILLE RUE"
Souvenirs de mon enfance
5ème partie :
Cela me rappelle soudain que son petit fils ou petit-neveu, Raymond Bellicaud, devenu plus tard « le bouif », quand nous étions encore à l’école primaire, avait créé son élevage de grillons (« les grelets »). Je les ai vus, grouillant par centaines dans des boites de métal et carton. Il se faisait fort de leur assurer existence et vieillesse en les nourrissant avec une certaine herbe qu’il connaissait bien. Inutile de vous dire que les infortunés insectes passèrent en un temps record de vie à trépas, et on n’en parla plus.
Un retraité célibataire, Paul Faubert a eu quelques années pour domicile une ou deux pièces vers la maison Lemonnier, jusqu‘au jour où il est allé emprunter ou acheter chez le bourrelier Henri Martin une certaine longueur de corde avec laquelle il est rentré chez lui pour se pendre on ne sait pas ce qui l’a poussé à accomplir ce geste.
Un retraité célibataire, Paul Faubert a eu quelques années pour domicile une ou deux pièces vers la maison Lemonnier, jusqu‘au jour où il est allé emprunter ou acheter chez le bourrelier Henri Martin une certaine longueur de corde avec laquelle il est rentré chez lui pour se pendre on ne sait pas ce qui l’a poussé à accomplir ce geste.
Marie-Louise TRILLAUD épouse GUYOT - La Vieille Rue entre 1935 - 1940 |
Pierre TRILLAUD fils vers 1970 à la Tuilière |
Raymond POIRIER vers 1943 |
J’ai fait ici un résumé où il reste sans doute des lacunes de taille. La période évoquée est vaste allant jusqu'à la guerre et commençant à une époque où on remonte à mes premiers souvenirs, c'est-à-dire vers 1930, 31, 32 … (Albert Lebrun étant Président).
J’ai oublié des faits, manqué de précision et de certitude pour certains. J’ai décrit ou cité des personnages et petits événements tels que je me les remémore maintenant. On peut estimer que c’est « de l’à peu près » mais je n’ai rien falsifié ou sciemment déformé. L’essentiel est vrai et garde valeur de document. C’est ma vision de ce passé, résultat d’une expérience vécue. J’espère qu’elle vous aura un instant distraits.
Raymond POIRIER
J’ai oublié des faits, manqué de précision et de certitude pour certains. J’ai décrit ou cité des personnages et petits événements tels que je me les remémore maintenant. On peut estimer que c’est « de l’à peu près » mais je n’ai rien falsifié ou sciemment déformé. L’essentiel est vrai et garde valeur de document. C’est ma vision de ce passé, résultat d’une expérience vécue. J’espère qu’elle vous aura un instant distraits.
Raymond POIRIER
Août 2014
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